"Près de 230.000 spectateurs": Christian Estrosi dresse un premier bilan de l'édition 2024 du Carnaval de Nice

Corso illuminé, incinération du roi... La dernière soirée du Carnaval de Nice a lieu ce samedi 2 mars. Au micro de BFM Nice Côte d'Azur, le maire de Nice Christian Estrosi a dressé un premier bilan de l'événement.

"Nous battons le record des 20 dernières années avec près de 230.000 spectateurs qui sont venus, qui ont acheté leurs places, qui ont participé à un carnaval", déclare-t-il.

"Entre 35 et 40 millions d'euros" de retombées économiques

L'édile se félicite également d'avoir réussi à "monter d'un cran" en réussissant à apporter une dimension plus populaire au Carnaval de Nice.

"Je pense que ce que nous avions voulu l'année dernière, c'était monter d'un cran sur une dimension beaucoup plus populaire, qu'il n'y ait plus de barrières sur les promenoirs ou qu'il y ait un contact direct (...) sans compter la présence dans nos quartiers où nous avons mis la fête dans toute la ville de Nice. C'est une édition exceptionnelle", déclare-t-il.

Concernant le volet économique, Christian Estrosi revient sur les retombées de cette édition 2024 du Carnaval de Nice.

"Les retombées économiques peuvent être estimées entre 35 et 40 millions d'euros, nous aurons le bilan la semaine prochaine", estime le maire de Nice.

Plus de places pour l'édition de 2025?

Ce dernier ajoute également que la tribune de retour sur la Promenade des Anglais sera présente pour l'édition de 2025.

"Elle sera non seulement de retour, mais nous allons même, je pense veiller à l'agrandir. Nous étions à 18.000 places avec la place Masséna, nous avons ajouté 4.000 places avec la Promenade des Anglais. Nous avons vu que ce passage sur la Promenade des Anglais était un véritable succès, nous allons réfléchir à voir comment augmenter le nombre de places d'accueil sur la promenade des Anglais", indique-t-il.

Christian Estrosi promet un carnaval 2025, dont le thème sera "Le roi des mers et des océans", "très engagé sur l'écologie, sur la protection de la biodiversité et puis sur l'histoire".